Une interview exclusive de Robbie Williams est disponible dans le magazine télé belge Télémoustique (semaine du 21 au 27 octobre). Il y parle de son nouvel album Rudebox, de ses concerts, de ses projets...
Voici un aperçu de cette interview:
A trente-deux ans, le roi de la pop chante avec ses idoles de jeunesse Pet Shop Boys, s'est réconcilié avec Take That, reprend Manu Chao, a arrêté la drogue et sait que son nouvel album "Rudebox" fera un carton. Rencontre exclusive.
Une suite au onzième étage d'un hôtel londonien avec terrasse en tek et vue sur la Tamise. Un cappuccino brûlant sur la table, un plat de fruits, un paquet de Silk Cut dont il fumera cinq cigarettes durant l'interview et des vannes dont il a le secret. Entre deux concerts (complets) de sa tournée, Robbie Williams joue le rôle qu'il préfère, celui de la pop star nonchalante qui prend un malin plaisir à vous désarçonner pour mieux vous séduire. Derrière ses traits d'humour, c'est un artiste sincère et allergique à la langue de bois qui se révèle.
Votre nouvel album "Rudebox" sort le 23 octobre. Vous serez anxieux ce jour-là?
Robbie Williams. - Le 23 octobre, ça tombe quand? Lundi? D'accord, j'aurai peur lundi et peut-être même le mardi. Mercredi 25, je recevrai sans doute de bonnes nouvelles de ma firme de disques quant aux chiffres de ventes. Je suis confiant, très sûr de moi. Je sais que "Rudebox" va marcher car c'est un bon album. C'est prétentieux comme réponse, mais c'est honnête.
Etes-vous obsédé par vos chiffres de ventes?
R.W. - Je suis un gagnant. Je suis de très près les ventes de mes disques parce que j'aime savoir que je touche un maximum de gens. Il faut être compétitif si on veut rester au top. Je vous rassure, je ne vais pas tous les jours à ma banque pour compter mon fric. J'ai gagné plus d'argent que je ne pourrai jamais en dépenser.
La chanson Rudebox, distribuée en single dès le mois d'août, s'est fait descendre dans la presse musicale anglaise. Avez-vous pensé: "Robbie, tu risques de te planter sur ce coup-là"?
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La suite dans TéléMoustique
Interview réalisée par Luc Lorfèvre à Londres.
Source: télémoustique